L’addiction au tabac
La cigarette est-elle une drogue ?
Et si c’était seulement une croyance !
Pour exemple et preuve, lorsqu’une femme enceinte fume pendant sa grossesse, le bébé, à la naissance, n’a pas besoin d’un substitut à la cigarette : il ne subit aucun manque alors qu’il a inhaler pendant tout le temps de la gestation les toxines des cigarettes de sa mère.
A contrario, lorsqu’une femme enceinte consomme de la drogue pendant la grossesse, le bébé, à la naissance est en manque et les équipes médicales sont dans l’obligation de lui administrer un substitut pour effectuer un sevrage sans danger pour sa santé.
Les lobbyings pharmaceutiques et l’Etat lui-même ont tout intérêt de suggérer que la cigarette est une drogue. Dans le premier cas, ça fait vendre des patchs, gommes à macher voire même traitements style CHAMPIX et dans le second cas, les recettes de l’achat de vos cigarettes vont, en très grande majorité, dans les caisses de l’Etat.
Notre inconscient est le siège de nos émotions. Lorsque qu’il détecte qu’un comportement fait du bien, il considère que c’est quelque chose de bon pour nous.
L’arrêt du tabac est il seulement une question de volonté ?
Il est clair que pour y arriver, il faut avoir réellement envie d’arrêter de fumer.
Notre inconscient a 5 ans de maturité quand on est adulte. S’il considère que le fait de fumer une cigarette calme, apaise, détend, réveille, (ce qui en soi est parfaitement illogique), il va provoquer l’envie irrépressible de fumer en fonction des situations. Tout simplement parce qu’il a détecté que ce comportement est efficace ! Il adapte une réaction qui lui semble appropriée en première intention.
Le rôle de l’hypnose thérapeutique est de déprogrammer cette réaction et de négocier avec la partie responsable de ce comportement pour qu’elle trouve une solution plus adaptée et plus saine pour la personne, tout en conservant l’intention positive de la dite addiction. En deux séances d’une heure, les résultats sont impressionnants.
Parfois, une thérapie un peu plus longue est nécessaire quand l’addiction survient après un choc émotionnel ou un traumatisme. Il conviendra, alors de s’occuper du choc ou du traumatisme avant de déprogrammer l’addiction.